50 Sommets

52 pays, 50 sommets, 1 objectif : nettoyer les montagnes
Sunrise over mountains


En 2019 j’embarque dans une nouvelle aventure.
L’objectif?

Gravir en solitaire le plus haut sommet de chaque pays Européen pour sensibiliser et susciter un intérêt à la pollution en montagne.

10 tonnes de déchets, c’est ce que ramasse tout les ans le gouvernement Népalais sur les pentes de l’Everest.
30000 c’est le nombre de mégot que l’on retrouve sous un seul télésiège dans n’importe quelle station des Alpes
52 c’est le nombre de pays en dans l’Europe géographique
Et 50 c’est le nombre de sommets.


Présentation en vidéo

L’Europe et ses pays

Il y a 52 pays (états souverains inclus) répartis sur le continent Européen tel quel défini historiquement et culturellement : l’Europe est séparée de l’Asie par la chaine montagneuse Oural, le fleuve Oural, la chaine montagneuse du Caucase, dans le Sud-Est par la Mer Caspienne et la Mer Noire.

52 pays pour 50 sommets, étant donné que la France et l’Italie partagent le Mont Blanc*, et l’Albanie partage le Mt Korab avec la Macedonie.
Note: Seuls les pays ou les états souverains font partis de la liste. Cela explique par exemple la présence de Monaco (ville-état souveraine), et pas celle de l’ile de Jersey (une dépendance à la couronne Britannique).

*Là où le Mt Korab est reconnu par l’Albanie et la Macédonie comme un sommet partagé, le Mont Blanc est principalement considéré comme un sommet purement Français

Satellite view of Europe
Vue satellite de l’Europe

Pour les pays à la frontière, comme la Russie, la Georgie ou l’Azerbaijan, leurs plus haut sommets respectifs sont encore partiellement considérés comme étant en Europe.
Pour la Turquie, le point culminant étant en Asie c’est le plus haut point côté Européen qui a été choisi à la place.
L’île de Chypre faisant partie de l’Union Européenne a également été incluse dans la liste bien qu’elle soit techniquement dans le Moyen-Orient.
A noter également : bien qu’une petite partie du Kazakstan soit techniquement encore en Europe, aucun point culminant n’a été répertorié sur cette partie très plate du pays.

Le respect de l’environment

Randonnée et Alpinisme mis de côté, le but de ce périple est aussi de sensibiliser et susciter un intérêt à l’augmentation de la pollution en montagne.

Chaque jour sur n’importe quelle montagne, grimpeurs ou randonneurs, skieurs ou vttistes, touristes ou locaux, décident de laisser sur place leurs déchets plutôt que de les ramener avec eux.
Cet problème touche chaque pays et chaque montagne.
Le Mt Everest pour prendre un exemple, a atteint un niveau de popularité qui l’a transformé en un gigantesque mont d’ordures. Chaque été, c’est plus de 5.500kg d’excrements et le double de poubelle qui sont laissés sur l’Everest.
Dans les stations de ski, c’est 30.000 mégots de cigarette (ces choses là ne sont PAS biodégradable) qui peuvent être retrouvés sous UN seul télésiège.

Sortie Nettoyage de rivière (les gens jettent n’importe quoi dedans)

J’entreprends donc ce périple dans le but de récolter des fonds qui seront intégralement reversés à des associations dédiées (et reconnues) au nettoyage des montagnes et à la mise en place d’ateliers pédagogique pour sensibiliser la population à l’impact de leur déchets.

« Comment puis-je aider? »
J’ai créé une page de crowdfunding où vous, vos amis, votre famille, les gens, sont invités à faire une donation pour ces associations (tout les montants sont acceptés). L’intégralité de cet argent sera reversé aux associations.
En réalisant ce défi des 50 sommets, j’espère attirer suffisamment d’attention pour récolter un montant conséquent.

La devise de ce périple est simple :
Les montagnes sont pour tout le monde, sauf les gros dégueulasses.
(Version non-censurée : Les montagnes sont pour tout le monde, sauf ceux qui ne la respectent pas).

La devise de ce périple est simple :
Les montagnes sont pour tout le monde, sauf les gros dégueulasses. (Version non-censurée : Les montagnes sont pour tout le monde, sauf ceux qui ne la respectent pas).

Vert à tous les niveaux

« C’est bien beau tout ça, mais quid de ton impact à toi? »
Tout à fait! Le grand couac d’un tel projet, c’est le transport, et il n’existe malheureusement pas encore aujourd’hui de moyens de se déplacer rapidement sans rejeter de CO2.
Du coup, pour compenser les émissions nécessaires à la réalisation de ce défi, je mesurerais l’impact carbone de mes déplacements, et je ferais par la suite un don à un projet écologique de reforestation d’un montant deux fois supérieur à celui nécessaire pour contrebalancer mes émission de CO2.

L’homme

En plus du résumé situé sur la partie droite de cette page, la plus part des informations sur ma personne peuvent être trouvées sur la page A PROPOS DE L’AUTEUR.

Si vous êtes fainéant voici un résumé supplémentaire :
Je viens de nul part et de partout. Né d’une famille de montagnard, j’ai grandi dans 8 pays différent. Je suis constamment sur le qui-vive, toujours à la recherche de nouveaux défis. J’ai atteint le sommet du Mont Blanc à 18 ans. Je rêve d’aller en Antarctique. Le plus haut point atteint est à 6’088m sur le sommet du Huayna Potosi. J’aime réaliser mes aventures en solitaire. Je me sens suffisamment concerné par l’écologie pour être volontaire dans des associations de nettoyage, réduire ma consommation de viande, composter, être un fervent adepte de la permaculture. Je ne suis pas un puriste, je considère que chacun à le droit de se rendre en montagne tant qu’il l’a respecte.